La forme… est quelque chose qui entoure, qui contient, qui définit son intérieur, la substance qui l’habite. La forme est belle parce qu’elle est bien plus qu’elle-même.
Mais, étrangement, lorsque l’on regarde de près ses limites, il commence à s’effacer en disant : « on ne voit pas tout ». Puis, dans cette dissolution, il laisse échapper la lumière, l’énergie qui le constitue, le son vibrant qui le soutient. C’est alors que moi, humble observateur, je change à jamais sa façon de voir. La plasticité prend le dessus sur ce qui semblait rigide et, tout en disparaissant, elle continue d’exister.
Comment exprimer la dissolution de la forme, en utilisant la matière et les mots ?
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